Citations Joël Robuchon

La cuisine simple, c'est ce qu'il y a de plus compliqué.

J'ai eu la chance de rencontrer des chefs qui m'ont galvanisé. Ils étaient chaleureux, ils me poussaient.

Dans tous les pays où je vais, j'emploie en priorité les produits locaux.

La santé par l'alimentation, c'est l'enjeu des années à venir.

New York, c'est la capitale du monde, sa vitrine, j'aimerais d'ailleurs y vivre, parce qu'il y a une énergie, une clientèle exceptionnelle.

On peut être bon cuisinier et mauvais chef. Le chef dirige une brigade alors que dans l'esprit du grand public, c'est le cuisinier.

À mon époque, j’ai fait et remporté tous les concours possibles: Prosper Montagné, Taittinger, le Trophée national, le meilleur ouvrier de France… J’ai aussi représenté la France dans des concours internationaux. Quand j’étais jeune, on m’appelait «la bête à concours»!

À part quelques expériences intéressantes, la grande cuisine française m'emmerde!

La cuisine française est celle que j'aime le mieux, même à l'étranger.

Dans le métier de cuisinier, il faut savoir éveiller tous les sens. Une émotion se crée aussi bien avec le visuel que la dégustation, le toucher, l’odorat, le goût… tout doit être développé.

On ne peut pas faire de cuisine si l'on n'aime pas les gens!

Protéger des produits, des techniques, des savoir-faire, la France a toujours su le faire avec une vraie conscience de son identité.

Je me considère moi-même comme un ambassadeur de la gastronomie française à l'étranger.

C'est un métier où l'on a la chance inouïe de rendre les gens heureux.

Je rêve de voir le concours du Meilleur Ouvrier de France se jouer autour d'un panier de légumes!