Citations Kongzi
Confucius, né le 28 septembre 551 av. J.-C. à Zou et mort le 11 avril 479 av. J.-C. à Qufu dans l’actuelle province du Shandong, est un philosophe chinois. Son patronyme est Kong, son prénom Qiu, et son prénom social Zhongni. Wikipedia
La Vertu ne va jamais seule ; elle attire toujours des imitateurs.
– Kongzi, Philosophe Chinois
Interprétation :
La vertu inspire naturellement les autres à la suivre et à l'imiter.
Le sage se demande à lui-même la cause de ses fautes, l'insensé le demande aux autres.
– Kongzi, Philosophe Chinois
Interprétation :
Le sage cherche en lui la responsabilité de ses erreurs, tandis que l'insensé accuse les autres.
Quand vous voyez un homme sage, pensez à l'égaler en vertu. Quand vous voyez un homme dépourvu de sagesse, examinez-vous vous même.
– Kongzi, Philosophe Chinois
Interprétation :
S’inspirer des personnes vertueuses et réfléchir à ses propres défauts face à ceux qui manquent de sagesse aide à progresser soi-même.
Il est plus difficile de se défendre de l'amertume dans la pauvreté que de l'orgueil dans l'opulence.
– Kongzi, Philosophe Chinois
Interprétation :
La pauvreté rend plus facile de devenir amer, tandis que la richesse pousse plus naturellement à l’orgueil.
Il est rare de trouver un homme qui se livre trois ans à l'étude, sans avoir en vue un salaire.
– Kongzi, Philosophe Chinois
Interprétation :
Peu de personnes s’engagent longtemps dans l’étude sans espérer une récompense ou un gain.
Celui qui est sévère envers lui-même et indulgent envers les autres évite les mécontentements.
– Kongzi, Philosophe Chinois
Interprétation :
En étant exigeant avec soi-même et compréhensif avec les autres, on se protège des conflits et frustrations.
Il est parfois des moissons qui n'arrivent pas à fleurir ; il en est aussi qui, après avoir fleuri, n'ont pas de grain.
– Kongzi, Philosophe Chinois
Interprétation :
Certaines actions ou efforts n’aboutissent jamais, et d’autres semblent prometteurs mais ne donnent finalement aucun résultat concret.
Ne vous affligez pas de ce que les hommes ne vous connaissent pas ; affligez-vous de ne pas connaître les hommes.
– Kongzi, Philosophe Chinois
Interprétation :
Il est plus important de chercher à comprendre les autres que de vouloir être reconnu par eux.
