Citations Georges Bernanos
Georges Bernanos, né le 20 février 1888 dans le 9ᵉ arrondissement de Paris et mort le 5 juillet 1948 à Neuilly-sur-Seine, est un écrivain français. Wikipedia
Le monde moderne n'a pas le temps d'espérer, ni d'aimer, ni de rêver.
– Georges Bernanos, Écrivain Français
Interprétation :
La vie moderne va si vite qu’on oublie de prendre le temps pour l’espoir, l’amour et les rêves.
Etre capable de trouver sa joie dans la joie de l'autre : voilà le secret du bonheur.
– Georges Bernanos, Écrivain Français
Interprétation :
Le bonheur naît quand on se réjouit sincèrement du bonheur des autres, pas seulement du sien.
On dirait que les survivants de ces générations formées par le plaisir, en ne se refusant rien, ont appris à se passer de tout.
– Georges Bernanos, Écrivain Français
Interprétation :
Les personnes habituées à satisfaire tous leurs désirs finissent par ne plus rien apprécier et deviennent capables de se passer de tout plaisir.
Un ami, rien qu'un ami, c'est aussi précieux qu'une vie.
– Georges Bernanos, Écrivain Français
Interprétation :
Avoir un véritable ami est aussi rare et important que la vie elle-même.
On ne se met aisément qu'à la place de ses égaux.
– Georges Bernanos, Écrivain Français
Interprétation :
Nous comprenons facilement les sentiments ou les situations de personnes qui sont semblables à nous.
Quand que je n'aurai plus qu'une paire de fesses pour penser, j'irai l'asseoir à l'Académie Française.
– Georges Bernanos, Écrivain Français
Interprétation :
Bernanos critique la stérilité intellectuelle qu'il associe à l'Académie Française, en suggérant qu’on n’a plus besoin de réfléchir réellement pour en faire partie.
Les démocraties ne peuvent pas plus se passer d'être hypocrites que les dictatures d'être cyniques.
– Georges Bernanos, Écrivain Français
Interprétation :
Les démocraties affichent souvent des principes qu'elles ne respectent pas toujours, tandis que les dictatures assument ouvertement leur absence de morale.
La seule différence entre un optimiste et un pessimiste, c'est que le premier est un imbécile heureux et que le second est un imbécile triste.
– Georges Bernanos, Écrivain Français
Interprétation :
Un optimiste et un pessimiste sont tous deux naïfs, mais l'un vit dans la joie tandis que l'autre vit dans la tristesse.
